L’Union Burundaise des Journalistes (UBJ) exprime sa plus vive préoccupation et condamne fermement l’agression subie par notre confrère, Willy Kwizera, journaliste à la Radio Bonesha. Ce dernier a été attaqué et passé à tabac par des étudiants de l’Université du Burundi dans des circonstances inacceptables.
Elle rappelle que la liberté de la presse et la protection des journalistes sont des droits fondamentaux garantis par la Constitution du Burundi et par les conventions internationales sur les droits de l’homme. L’attaque contre Willy Kwizera est non seulement une atteinte à sa personne, mais également une attaque contre la liberté d’expression et le droit à l’information.
« La violence contre les journalistes ne peut être tolérée. Nous devons garantir un environnement sûr et respectueux pour tous ceux qui s’engagent à informer notre société. Le journalisme est un pilier de la démocratie, et toute agression contre un journaliste est une agression contre le droit à l’information», a déclaré Alexandre Niyungeko, Président de l’UBJ
L’Union Burundaise des Journalistes appelle les autorités compétentes à mener une enquête approfondie sur cet incident et à traduire en justice les responsables de cette agression. Il est impératif que des mesures soient prises pour garantir la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur profession, ainsi que pour promouvoir un environnement propice au dialogue et à la liberté d’expression.
Nous appelons également le Conseil National de la Communication (CNC) à sortir de son mutisme face à cette situation alarmante. Il est de sa responsabilité de protéger le droit des journalistes à exercer leur métier en toute sécurité et de condamner publiquement les actes de violence qui mettent en péril la liberté de la presse. Le CNC doit jouer un rôle actif dans la promotion d’un environnement propice à l’exercice de la liberté d’expression et à la protection des journalistes.
L’UBJ se tient aux côtés de Willy Kwizera et de tous les journalistes victimes de violences et de harcèlement. Nous encourageons nos confrères à continuer à exercer leur métier avec courage et détermination, malgré les défis.
Nous lançons également un appel à la communauté internationale pour qu’elle surveille la situation des droits de l’homme au Burundi et pour qu’elle soutienne les efforts en faveur de la protection des journalistes surtout en cette période électorale.
Elle rappelle que la liberté de la presse et la protection des journalistes sont des droits fondamentaux garantis par la Constitution du Burundi et par les conventions internationales sur les droits de l’homme. L’attaque contre Willy Kwizera est non seulement une atteinte à sa personne, mais également une attaque contre la liberté d’expression et le droit à l’information.
« La violence contre les journalistes ne peut être tolérée. Nous devons garantir un environnement sûr et respectueux pour tous ceux qui s’engagent à informer notre société. Le journalisme est un pilier de la démocratie, et toute agression contre un journaliste est une agression contre le droit à l’information», a déclaré Alexandre Niyungeko, Président de l’UBJ
L’Union Burundaise des Journalistes appelle les autorités compétentes à mener une enquête approfondie sur cet incident et à traduire en justice les responsables de cette agression. Il est impératif que des mesures soient prises pour garantir la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur profession, ainsi que pour promouvoir un environnement propice au dialogue et à la liberté d’expression.
Nous appelons également le Conseil National de la Communication (CNC) à sortir de son mutisme face à cette situation alarmante. Il est de sa responsabilité de protéger le droit des journalistes à exercer leur métier en toute sécurité et de condamner publiquement les actes de violence qui mettent en péril la liberté de la presse. Le CNC doit jouer un rôle actif dans la promotion d’un environnement propice à l’exercice de la liberté d’expression et à la protection des journalistes.
L’UBJ se tient aux côtés de Willy Kwizera et de tous les journalistes victimes de violences et de harcèlement. Nous encourageons nos confrères à continuer à exercer leur métier avec courage et détermination, malgré les défis.
Nous lançons également un appel à la communauté internationale pour qu’elle surveille la situation des droits de l’homme au Burundi et pour qu’elle soutienne les efforts en faveur de la protection des journalistes surtout en cette période électorale.